J’y suis, j’y reste est une pièce de théâtre française en 3 actes de Raymond Vincy et Jean Valmy, créée au théâtre du Gymnase le 20 décembre 1950. Elle fut diffusée à la télévision dans le cadre de l’émission Au théâtre ce soir pour la première fois en 1966 et, dans une autre version, en 1984. Une adaptation au cinéma a été réalisée par Maurice Labro, J’y suis, j’y reste, et est sorti en 1954.
Résumé
Une restauratrice du quartier des halles s’est fait dérober son sac à main contenant ses papiers d’identité. Dix ans plus tard, voulant épouser son barman, elle apprend que sa voleuse a épousé, en empruntant son propre nom, un jeune baron. Elle décide, alors, de se présenter au manoir de son « époux légal » pour lui dévoiler la vérité et réclamer le divorce, semant la perturbation dans l’existence du baron et de sa tante une comtesse très à cheval sur les traditions. Finalement c’est un cardinal, en visite au château, qui trouvera une issue à cette situation.
Distribution à la Cancoillotte
Mise en scène : Catherine Bougon
Assistée de : Christine de Dreux-Brézé
LUCIE : Béatrice Pouletty
PATRICE : Pierre de Vesvrotte
GISÈLE : Michèle Régnier
LA COMTESSE : Hélène de Lachaise
HUBERT : Denis Bretagne
ANTOINETTE : Françoise d’Arbaumont
JULES : Yves de Dreux-Brézé
LE CARDINAL : Dominique Garnier
Le flyer