La soupière

La soupière est une pièce en deux actes de Robert Lamoureux

Résumé

Paul dirige depuis plusieurs années l’entreprise familiale de robinetterie. Mais les affaires vont mal. Tante Violette ayant déjà volé au secours de son pauvre neveu refuse de lui verser un centime de plus. Elle refuse d’ailleurs toute tractation financière, même celle de la General Motors prête à lui racheter ses vignobles pour y installer ses usines.

Dernière chance pour Paul : se faire le porte parole de l’entreprise américaine afin de convaincre sa tante de vendre ses terres en échange de quoi, il touchera une commission. Une grosse somme d’argent qui lui permettrait de sauver ses affaires. Mais la vieille tante ne l’entend encore pas de cette oreille : « Moi vivante, mes vignobles resterons français ! ». Devant ce refus catégorique, il n’y a donc plus qu’une chose à faire… « casser la vieille soupière pour pouvoir manger la pâtée ».

C’est sous cette phrase codée, que le monstrueux neveu envisage de supprimer sa tante pour toucher l’héritage et sauver son entreprise. Pour ce faire, il trouvera en la personne de Germaine, la bonne, une oreille attentive.

Distribution à la Cancoillotte

Mise en scène : Catherine Bougon

GERMAINE LAPUY : Françoise d’Arbaumont
CLÉMENT DOUVRE : Jean-Paul Dochez
VIOLETTE DESIGNE : Christine de Vesvrotte
PAUL DUBARD : Denis Bretagne
HÉLÈNE DUBARD : Anne-Marie Laperche
BRIGITTE DUBARD : Béatrice Pouletty
JEAN-FRANÇOIS LOUIS : Louis Dromard
MONSIEUR LOUIS : Antoine d’Arbaumont
L’INSPECTEUR BERGER : Jean-François Bougon

Le Flyer